À Charles Spon, le 22 mars 1650, note 16.
Note [16]

« ou du moins que ces fort méchants bipèdes ne reviennent jamais ici, et bien plutôt qu’ils retournent là d’où les inconvénients de notre siècle les ont malencontreusement amenés » (adaptation de Catulle, v. note [104], lettre 166).

V. note [15], lettre 220, pour l’orage politique qui accompagnait le départ de Mazarin pour la Bourgogne.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 22 mars 1650, note 16.

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(Consulté le 19/04/2024)

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