À André Falconet, le 5 décembre 1659, note 16.
Note [16]

« séné {a} arabique, qui, une fois cueilli, est porté à Alexandrie d’Égypte et delà, acheté par divers marchands, il est transporté à Constantinople, Venise, Marseille, et dans d’autres villes et provinces. L’autre est le séné sidonien {a} ou Syriaque {b} (mais c’est un vocable frelaté), dont les feuilles sont rondes, émoussées, et non pas pointues. » {c}


  1. V. note [6], lettre 15, pour les variétés et le commerce du séné.

  2. De Sidon (Seide pour Guy Patin), ancienne cité de Phénicie, aujourd’hui Sayda au Liban, sur la berge orientale de la Méditerranée, entre Tyr (Sour) au sud et Beyrouth au nord.

  3. De Syrie.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 5 décembre 1659, note 16.

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(Consulté le 26/04/2024)

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