À Charles Spon, le 1er mars 1650, note 17.
Note [17]

« On dit proverbialement gueux comme un peintre, mais ce proverbe est devenu faux en ces derniers jours où la peinture a été cultivée et anoblie. […] Il est gueux comme un rat d’église, c’est-à-dire, il est si pauvre qu’il n’a pas de quoi manger » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 1er mars 1650, note 17.

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(Consulté le 19/04/2024)

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