À Charles Spon, le 20 mars 1649, note 174.
Note [174]

Retz (Mémoires, pages 508-509) :

« Le 15, {a} ce procès-verbal {b} et ces articles furent lus, {c} ce qui ne se passa pas sans beaucoup de chaleur ; mais beaucoup moindre toutefois, que celle des premiers jours. L’on arrêta enfin, après une infinité de paroles de picoterie {d} qui furent dites de part et d’autre, de concevoir l’arrêt en ces termes : “ La Cour a accepté l’accommodement et le traité, et a ordonné que les députés du Parlement retourneront à Saint-Germain pour faire instance et obtenir la réformation de quelques articles, savoir : celui d’aller tenir un lit de justice à Saint-Germain ; de celui qui défend l’assemblée des chambres, que Sa Majesté sera très humblement suppliée de permettre en certains cas ; de celui qui permet les prêts, qui est le plus dangereux de tous pour le public à cause des conséquences ; et les députés y traiteront aussi des intérêts de Messieurs les généraux et de tous ceux qui se sont déclarés pour le parti, conjointement avec ceux qu’il leur plaira de nommer pour aller traiter particulièrement en leur nom. ” »


  1. Mars 1649.

  2. De la conférence de Rueil.

  3. Devant le Parlement.

  4. Querelle.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 20 mars 1649, note 174.

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(Consulté le 29/03/2024)

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