À Claude II Belin, le 14 mars 1657, note 18.
Note [18]

« d’un pourrissement du poumon avec fièvre continue qui s’est fortifiée en quelques jours, parce qu’au début de la maladie on a omis la saignée qui est un secret inconnu des médicastres de la cour. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 14 mars 1657, note 18.

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(Consulté le 25/04/2024)

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