Note [18] | |
« parce que ces remèdes fictifs, avec leurs qualités occultes qui sont réellement nulles, n’auraient de plus grande vertu que vider les cassettes des malades pour enrichir les apothicaires. » Le début de cet article vient de la lettre 5 (18 octobre 1630, v. sa note [10]), qui déclencha une chaude querelle entre Guy Patin et Claude ii Belin sur les qualités occultes des médicaments (v. note [7], lettre 3), dont Jean Fernel avait défendu l’existence dans ses deux livres de abditis rerum causis [sur les causes cachées des choses] (Paris, 1548, v. note [48], lettre 97). La suite, contre les apothicaires, n’est pas dans la lettre, mais parfaitement conforme à l’esprit de Patin. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
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