À Charles Spon, le 2 mars 1643, note 19.
Note [19]

Carmélite : « religieuse qui vit sous la même règle des carmes, dont l’Ordre est devenu célèbre par le moyen de sainte Thérèse [d’Avila, v. note [6], lettre 758]. Le cardinal de Bérulle les avait attirées en France deux ans avant que les carmes déchaussés s’y fussent venus établir » (Trévoux).

V. note [23] du Patiniana I‑3 pour sœur Marie de l’Incarnation (Barbe Acarie) fondatrice des carmélites françaises. Leur couvent de Saint-Denis (v. note [27], lettre 166) abrite aujourd’hui le musée d’art et d’histoire de la ville.

Olivier Le Fèvre d’Ormesson (Journal, tome i, page 11) :

« Nous ouïmes le matin la messe du P. de Harlay, qui la dit pour Mme de Saint-Georges, gouvernante de Mademoiselle, décédée la nuit du lundi au mardi. {a} Mademoiselle était allée aussitôt aux Carmélites de Saint-Denis, en attendant la volonté du roi. »


  1. Du 23 au 24 février 1643.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 2 mars 1643, note 19.

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(Consulté le 23/04/2024)

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