À Charles Spon, le 1er juillet 1653
Note [19]

Dans cette phrase, « ils » désigne ceux de Bordeaux où s’éteignaient alors les dernières braises de la Fronde. V. note [23], lettre 318, pour la conspiration qu’y avait fomenté l’avocat Chevalier, fils de l’avocat général au parlement de Guyenne.

Imprimer cette note
Citer cette note

x Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 1er juillet 1653. Note 19

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0321&cln=19

(Consulté le 28.05.2023)

Licence Creative Commons