À Claude II Belin, le 27 avril 1632, note 2.
Note [2]

« les actes de l’art libéral doivent être libéraux. » La gratuité des soins prodigués à un autre médecin ou à un membre de sa famille reste une tradition de la confraternité. Il s’agissait ici, on va le comprendre, de visites que Guy Patin avait faites au chevet du frère de Claude ii Belin, malade à Paris.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 27 avril 1632, note 2.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0010&cln=2

(Consulté le 29/03/2024)

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