À Charles Spon, le 16 septembre 1650, note 2.
Note [2]

« On dit proverbialement donner le fait à quelqu’un, pour dire se venger de quelque injure, soit par la voie de raillerie, soit par des coups de main » (Furetière).

C’était la fin de la querelle qui avait entouré l’édition lyonnaise (1650) des Opera de Daniel Sennert (v. note [6], lettre 238) ; l’ouvrage allait pouvoir être mis en vente ; Guy Patin y avait mis beaucoup du sien.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 16 septembre 1650, note 2.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0243&cln=2

(Consulté le 05/05/2024)

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