À André Falconet, le 31 janvier 1653, note 2.
Note [2]

« la “ Rosée au soleil ” [v. note [6], lettre 220] n’a rien de solaire, mais elle est ardente, ce qui la rend tout à fait capable d’être fort contraire aux douleurs des lombes et des reins ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 31 janvier 1653, note 2.

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(Consulté le 26/04/2024)

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