À André Falconet, le 27 juin 1653, note 2.
Note [2]

« Et ainsi celui qui avait tué tant d’innocents à l’aide de ce poison diabolique (comme Mercuriali {a} l’a appelé) a traversé le flot stygial {b} grâce à l’antimoine. »


  1. V. note [1] de l’Observation ii contre les apothicaires pour le passage de ses Tractatus [Traités] (Venise, 1601) où Girolamo Mercuriali (v. note [16], lettre 18) a qualifié l’antimoine de diabolicum medicamentum.

    Dans ma transcription de la lettre imprimée, j’ai remplacé Mercuriali (son nom italien) par Mercuriale (cas ablatif de son nom latin, Mercurialis).

  2. Le Styx (v. note [28], lettre 334), que François Vautier (v. note [26], lettre 117) avait traversé le 4 juillet 1652 en passant de vie à trépas.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 27 juin 1653, note 2.

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(Consulté le 20/04/2024)

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