À Charles Spon, le 9 avril 1655, note 2.
Note [2]

Piaffe : « démarche fière qui marque de la vanité ou de la magnificence » (Furetière).

Le pain bénit est un pain qu’on offre à l’église pour le faire bénir par le prêtre, puis le couper en morceaux (chanteaux) avant de le partager entre les fidèles et le manger avec dévotion. Rendre le pain bénit, c’est donner à l’église le pain qui doit être bénit et aller présenter ce pain à l’offrande.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 9 avril 1655, note 2.

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(Consulté le 19/04/2024)

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