À Hugues II de Salins, le 30 avril 1655, note 2.
Note [2]

« et de fait nulle loi n’est plus juste que de faire périr par leur propre invention les inventeurs d’un supplice » (Ovide, v. note [37], lettre 291).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Hugues II de Salins, le 30 avril 1655, note 2.

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(Consulté le 18/04/2024)

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