À Hugues II de Salins, le 27 décembre 1657, note 2.
Note [2]

« autrement elle n’aurait jamais cessé. »

Est dite idiopathique (Furetière) une :

« maladie ou indisposition qui est propre à quelque membre particulier, sans aucune dépendance ni participation du reste du corps, telle qu’est la cataracte dans l’œil. Elle est opposée à la sympathie, {a} qui arrive quand l’indisposition est causée par le vice d’une autre partie, comme la fluxion. Ce mot est composé du grec idios, proprius, particulier, et de pathos, passio, affectus, passion, affection. » {b}


  1. V. note [4], lettre 188.

  2. V. note [6] de la Consultation 12 pour l’explication de l’idiopathie dans la Pathologie de Jean Fernel.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Hugues II de Salins, le 27 décembre 1657, note 2.

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(Consulté le 25/04/2024)

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