À Charles Spon, le 24 décembre 1658, note 2.
Note [2]

« Ces déjections copieuses n’ont de valeur que dans la mesure où elles soulagent. Une chiasse perpétuelle ne sied pas à la dignité à notre art : le poison émétique avait mis les viscères en un épouvantable délabrement qui n’a pas pu être corrigé. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 24 décembre 1658, note 2.

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(Consulté le 25/04/2024)

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