À Charles Spon, le 17 novembre 1662, note 2.
Note [2]

« il est affligé d’une excessive effronterie et d’une stupide insolence » ; Martial (Épigrammes, livre i, xli, vers 18‑20) :

Non cuicumque datum est habere nasum :
Ludit qui stolida procacitate,
Non est Tettius ille, sed caballus
.

[Il n’est pas donné à tout le monde d’avoir le nez fin : qui badine avec une stupide insolence n’est pas un Tettius, mais une simple rosse].

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 17 novembre 1662, note 2.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0736&cln=2

(Consulté le 20/04/2024)

Licence Creative Commons