À André Falconet, le 15 février 1663, note 2.
Note [2]

Gabrielis Naudæi, Parisini, eminentissimorum cardinalium, Francisci a Balneo, Francisci Barberini, Iulii Mazarini, ac demum Serenissimæ Christinæ-Alexandræ, reginæ Suecorum, Gothorum et Vandalorum, bibliothecarii, Epistolæ, nunc primum in lucem prodeunt (cura A. de La Poterie).

[Lettres de Gabriel Naudé, Parisien, bibliothécaire des éminentissimes cardinaux Francesco di Bagno, Francesco Barberini, Jules Mazarin, {a} et enfin de la sérénissime Christine-Alexandra, reine des Suédois, des Goths et des Vandales. {b} Mises au jour pour la première fois]. {c}


  1. De 1631 à 1642, Naudé avait été bibliothécaire des cardinaux Gianfrancesco Guido di Bagno (v. note [12], lettre 59) et Francesco Barberini (v. note [7], lettre 112) à Rome, puis Mazarin à Paris.

  2. Naudé n’a servi auprès de la reine Christine à Stockholm que pendant quelques mois, en 1653. V. notule {a}, note [29], lettre 401, pour les peuples qui composaient son royaume historique.

  3. Genève, Johann Hermann Widerhold, 1667, in‑12 de 814 pages, éditées par Antoine de La Poterie (v. note [13], lettre de Charles Spon, datée du 21 novembre 1656).

Ce recueil de 52 lettres, dédié au maître des requêtes Henri-Louis Habert de Montmor (v. note [13], lettre 337), en contient de nombreuses à divers médecins de Paris et d’ailleurs, mais aucune à Guy Patin (oh ! déception), qui est pourtant salué dans la préface de La Poterie (ou du libraire) au lecteur :

Debes etiam plurimum, Benevole Lector, curis doctissimi Caroli Sponii, doctoris medici Lugdunensis, qui literatorum in gratiam, ac speciatim eruditissimi Guidonis Patini, in Academia Parisiensi Medicinæ Regii Professoris, sui carissimi, auctoris amici singularis, exsecutus est quod potuit ad difficiliora scriptionis enucleanda, et ad hanc editionem accelerandam.

[Tu dois aussi beaucoup, bienveillant lecteur, aux soins de Charles Spon, docteur en médecine de Lyon, qui, pour l’agrément des lettrés, et spécialement du très savant Guy Patin, professeur royal de médecine en l’Université de Paris, son très cher ami et celui personnel de l’auteur, s’est échiné tant qu’il a pu à déchiffrer les parties les plus difficiles de l’écriture manuscrite et pour hâter la présente édition].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 15 février 1663, note 2.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0744&cln=2

(Consulté le 28/03/2024)

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