Note [2] |
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« surtout deux empourprés, qui ont malheureusement et cruellement tondu la France tout entière avec leur poussière romaine. » Avec cette saillie contre les cardinaux-ministres, Richelieu et Mazarin, Guy Patin voulait sans doute dire qu’à la manière des alchimistes faiseurs d’or, ils avaient échangé l’argent des Français contre de la vile poussière qu’ils avaient appris à ramasser à Rome : des indulgences pontificales en quelque sorte (Bauhin était protestant). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johann Caspar I Bauhin, le 29 avril 1669, note 2.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1030&cln=2 (Consulté le 02/05/2024) |