À Johannes Antonides Vander Linden, le 19 novembre 1655, note 2.
Note [2]

« Ici comme ailleurs, ainsi que la plupart des médecins, sinon tous, nous ne souffrons pas tant de manquer de remèdes que de méconnaître la juste méthode pour bien remédier. C’est elle qui est véritablement le secret le plus secret des secrets de notre métier ; mais hélas, bien peu le connaissent ! »

V. note [1] de la lettre de Hugues ii de Salins, datée du 3 mars 1657, pour la reprise de ces mots par Johannes Antonides Vander Linden dans ses Selecta medica… [Morceaux médicaux choisis…] (Leyde, 1656, v. note [29], lettre 338).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 19 novembre 1655, note 2.

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(Consulté le 29/03/2024)

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