À François Teveneau, le 21 juin 1661, note 2.
Note [2]

« Jules est enfin sous terre : c’est merveille qu’entouré par tant de bourreaux un larron ait eu du mal à mourir » ; Guy Patin ne se lassait décidément pas de rabâcher ce distique de François du Monstier (v. note [8], lettre 684).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À François Teveneau, le 21 juin 1661, note 2.

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(Consulté le 29/03/2024)

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