À Adolf Vorst, le 24 mai 1663, note 2.
Note [2]

« car les traces qu’il laisse m’épouvantent » : paroles du renard rusé au lion malade dans Horace (v. note [11], lettre 782).

Quoique probablement imaginé par Guy Patin, ce propos de la reine (traduit du latin manuscrit et mis entre guillemets) reflète la vérité : en mai-juin 1663, Anne d’Autriche ne se résolut à prendre l’antimoine qu’après l’avoir longtemps refusé (v. note [20], lettre 748).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Adolf Vorst, le 24 mai 1663, note 2.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1279&cln=2

(Consulté le 19/04/2024)

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