À Julien Bineteau, le 30 septembre 1651, note 2.
Note [2]

Une gageure était « l’argent ou les gages qu’on a pariés sur quelque contestation ; on ne reçoit point d’action en justice pour les gageures » (Furetière). Ce n’était pas encore l’objet d’un défi ou d’un pari, métonymie qui est apparue en 1694 (Robert).

V. supra note [1] pour l’enjeu de la gageure lancée par Julien Bineteau.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Julien Bineteau, le 30 septembre 1651, note 2.

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(Consulté le 23/04/2024)

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