Autres écrits : Les 11 observations de Guy Patin et Charles Guillemeau sur les us et abus des apothicaires (1648), note 2.
Note [2]

« La Méthode d’Hippocrate pour remédier n’est-elle pas la plus fiable, la plus sûre et la plus remarquable de toutes ? » ; conclusion affirmative, Igitur Hippocratea medendi methodus omnium certissima, tutissima, præstantissima [Donc la…] (v. note [13], lettre 151).

Lettre à Charles Spon du 10 mars 1648 :

« La thèse de M. Guillemeau est sur la presse pour le 26e de mars. Il y parlait des apothicaires, des Arabes et de leur pharmacie, et ce bien malgré moi ; {a} mais je ne laisserai point de vous donner une copie de ce qui a été retranché. […] Comme je pressais un homme de ce parti sur ce châtrement de thèses, il me dit que tout le monde n’était point si heureusement hardi que moi […]. »


  1. C’est-à-dire : « sans que j’y fusse pour rien ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Les 11 observations de Guy Patin et Charles Guillemeau sur les us et abus des apothicaires (1648), note 2.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8153&cln=2

(Consulté le 29/03/2024)

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