De Thomas Bartholin, le 18 octobre 1662, note 2.
Note [2]

« ne donnerait envie de s’en mordre les doigts » ; Perse (Satire i, Contre les mauvais écrivains, vers 106) :

Nec pluteum cædit, nec demorsos sapit ungues.

[Il ne frappe pas son pupitre et ne sent pas l’envie de se mordre les doigts]. {a}


  1. À propos d’un poète satisfait de ses vers faciles, et qui n’éprouve aucun regret de leur médiocrité.

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – De Thomas Bartholin, le 18 octobre 1662, note 2.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=9078&cln=2

(Consulté le 20/04/2024)

Licence Creative Commons