Note [20] |
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C’est une des rares fois où Guy Patin a donné une idée exacte des honoraires médicaux qu’il percevait (v. note [23], lettre 206). À la manière des médecins de l’époque, il n’était souvent pas payé à la consultation, mais forfaitairement à l’année, pour les soins qu’il prodiguait à une famille. Cent écus, soit 300 livres, d’annuité faisaient une coquette somme, si l’on prend sept euros d’aujourd’hui pour équivalent d’une livre tournois (Bluche) ; mais Jacques Forcoal était un richissime partisan. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 31 janvier 1659. Note 20
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