Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 9 manuscrit, note 20.
Note [20]

Je n’ai pas trouvé d’autre référence à ce quatrain sodomite.

V. notes :

  • [38], lettre 280, pour les Ponts-de-Cé et la « drôlerie » qui y opposa les troupes royales de Louis xiii à celles de sa mère ;

  • [8], lettre 23, pour Henri ii de Bourbon, prince de Condé, ses mœurs, son incarcération au château de Vincennes (1616-1619), liée à son insoumission au pouvoir de la reine régente, Marie de Médicis, et son ralliement, une fois libéré, à la cause royale ;

  • [15], lettre 205, pour Charles d’Albert, futur duc de Luynes, favori et principal ministre de Louis xiii, de 1617 à 1621.

Le premier degré (ou chef) d’accusation était (en principe) celui qui était passible des peines les moins lourdes. Le sens de l’expression « accusé de sodomie jusqu’au premier degré » n’en demeure pas moins obscur ; mais dans la législation actuelle des États-Unis d’Amérique, le premier degré de sodomie est une accusation grave, qui qualifie le viol anal.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 9 manuscrit, note 20.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8210&cln=20

(Consulté le 20/04/2024)

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