Note [22] |
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La mission que le doyen confiait à ces sept docteurs régents était sans rapport avec la pharmacopée, mais cinq d’entre eux appartenaient au « bon parti » : seuls deux, Jacques Thévart et Denis Joncquet, allaient signer le manifeste progressiste de 1652 en faveur de l’antimoine (v. note [3], lettre 333). La brèche de la Faculté commençait, semble-t-il, à se creuser, insinuant son fiel jusqu’au cœur de tous ses actes, et Guy Patin ne faisait décidément aucun effort pour la colmater. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Commentaires de la Faculté rédigés par le doyen Guy Patin (1650-1652) : 1B. Novembre 1650-novembre 1651, Décrets et assemblées de la Faculté de médecine, note 22.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8183&cln=22 (Consulté le 25/04/2024) |