À Charles Spon, le 8 janvier 1650, note 24.
Note [24]

« le nombre impair plaît à Dieu » (Virgile, Bucoliques, églogue viii, vers 75).

Se moquant d’un médecin dans Monsieur de Pourceaugnac (acte i, scène 8), Molière lui fait dire aussi sentencieusement que sottement :

« Tout ce que j’y voudrais ajouter, c’est de faire les saignées et les purgations en nombre impair : Numero Deus impare gaudet. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 8 janvier 1650, note 24.

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(Consulté le 24/04/2024)

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