Note [25] |
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L’éditeur de 1718 a lu « ses fièvres quartes, s’il y en eut jamais un bon », ce qui rend la phrase incompréhensible. Reveillé-Parise a écrit assez rationnellement : « Quant à ses auteurs, je doute s’il y en eut… ». Comme il était impossible de laisser subsister une erreur de lecture aussi manifeste que celle de 1718, nous avons adopté la version de l’éditeur de 1846 (Triaire). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 10 mars 1648, note 25.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0151&cln=25 (Consulté le 26/04/2024) |