À Charles Spon, le 22 mars 1650, note 25.
Note [25]

« Les grenades en général ont un bon suc et sont propres pour l’estomac. Les douces sont bonnes aux toux opiniâtres. Les aigres sont froides, astringentes et stomachiques, on s’en sert principalement dans les fièvres bilieuses. Les grenades vineuses ont une nature moyenne entre les douces et les aigres, elles sont cardiaques et céphaliques » (Trévoux).

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 22 mars 1650, note 25.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0222&cln=25

(Consulté le 28/03/2024)

Licence Creative Commons