À Charles Spon, le 29 mai 1648, note 26.
Note [26]

« La médecine se satisfaisait jadis de quelques plantes, les Grecs eux-mêmes n’utilisaient que très peu de remèdes ; la multiplicité des remèdes est la fille de l’ignorance [Francis Bacon, v. note [23], lettre 601] ; les sages viennent à bout de beaucoup de maux avec peu de remèdes, composés selon la loi de la Nature ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 29 mai 1648, note 26.

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(Consulté le 19/04/2024)

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