Note [26] |
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« La médecine se satisfaisait jadis de quelques plantes, les Grecs eux-mêmes n’utilisaient que très peu de remèdes ; la multiplicité des remèdes est la fille de l’ignorance [Francis Bacon, v. note [23], lettre 601] ; les sages viennent à bout de beaucoup de maux avec peu de remèdes, composés selon la loi de la Nature ». |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 29 mai 1648. Note 26
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