À Charles Spon, le 28 septembre 1655, note 26.
Note [26]

« sans quoi, un excellent homme serait étouffé et cesserait de vivre […] tout à fait digne d’une plus longue vie, et même de l’éternité, si la volonté de Dieu l’autorisait et si la nature le permettait à l’homme. Vale. »

Le coin inférieur droit de ce post-scriptum est amputé par une petite déchirure du manuscrit.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 28 septembre 1655, note 26.

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(Consulté le 29/03/2024)

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