À Charles Spon, le 16 décembre 1653, note 27.
Note [27]

« et ça n’est pourtant pas moi qui le tromperai, jamais je ne prêterai mon aide à un voleur, etc. ; à d’autres, de porter à une femme mariée les commissions et les messages de son amant ; promettre à un fils que son père va bientôt mourir, je ne le veux ni ne le puis » ; mélange de vers de Juvénal (Satire iii, vers 43‑47) :

[…] funus promittere patris
Nec volo nec possum ; ranarum viscera numquam
Inspexi ; ferre ad nuptam quæ mittit adulter,
Quæ mandat, norunt alii ; me nemo ministro
Fur erit
.

[promettre à un fils que son père va bientôt mourir, je ne le veux ni ne le puis. Jamais je n’ai examiné les entrailles des grenouilles. À d’autres, de porter à une femme mariée les commissions et les messages de son amant. Jamais je ne prêterai mon aide à un voleur].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 16 décembre 1653, note 27.

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(Consulté le 29/03/2024)

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