À Charles Spon, le 1er avril 1650, note 29.
Note [29]

Déborder « se dit figurément en morale des passions vicieuses et excessives. Néron sur la fin de son empire se déborda en toutes sortes de vices. Cet homme est prompt et se déborde en injures » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 1er avril 1650, note 29.

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(Consulté le 19/04/2024)

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