À Charles Spon, le 12 octobre 1643, note 3.
Note [3]

« et qui vous rende bientôt père d’une belle progéniture » : et pulchra faciat te prole parentem (Virgile, Énéide, chant i, vers 75).

Le 26 septembre 1643, Charles Spon avait épousé Marie Seignoret (Lyon 1625-Vevey 1712), que Guy Patin appelait ici « mademoiselle votre maîtresse » ; issue d’une vieille famille protestante de Lyon, elle lui apportait 6 000 livres en dot. Le couple eut en tout 14 enfants, dont quatre seulement atteignirent l’âge adulte : Jacob (1647-1685), Marie (1648-1673), Suzanne (1649-1679) et Anne, (née en 1656) (Mollière et Jestaz). Marie était cousine germaine de Jacques Seignoret, époux de Suzanne Huguetan, sœur du libraire lyonnais Jean-Antoine ii Huguetan.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 12 octobre 1643, note 3.

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(Consulté le 28/04/2024)

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