À Claude II Belin, le 31 janvier 1651, note 3.
Note [3]

Prêter le collet à quelqu’un se dit « tant au propre, pour dire qu’on se battra contre lui corps à corps, qu’au figuré, pour dire qu’on lui tiendra tête en toutes sortes de disputes et de contestations » (Furetière).

V. note [30] de L’ultime procès de Théophraste Renaudot…, pour Antoine Madelain.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 31 janvier 1651, note 3.

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(Consulté le 05/05/2024)

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