Note [3] |
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« c’est faux » : écrit dans la marge par Guy Patin, qui a rayé le passage entre accolades. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 7 mai 1658. Note 3
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