À André Falconet, le 13 juillet 1660, note 3.
Note [3]

« À l’exception du feu, tous les éléments sont putrescibles, parce que tous sont l’aliment du feu ».

La Météorologie d’Aristote est composée de quatre livres (v. note [20] de la Leçon sur la Manne pour le sens à donner au mot météore). Ce passage se trouve au début de la 1re partie du livre iv : une chaleur naturelle et particulière se trouve en tout sujet humide ; la putréfaction est sa destruction par une chaleur externe, c’est-à-dire la chaleur de l’environnement.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 13 juillet 1660, note 3.

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(Consulté le 23/04/2024)

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