À André Falconet, le 25 janvier 1661, note 3.
Note [3]

« dont je crois donc qu’il va s’en aller rejoindre les morts, {a} parce que, outre la gravité de la maladie qui l’y pousse, le voilà aux mains de médecins peu clairvoyants ; mais les gens de cour naissent, vivent et meurent pour ce destin : ils prennent et sont pris, ils trompent et sont trompés. »


  1. V. note [13], lettre 248, pour ad plures.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 25 janvier 1661, note 3.

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(Consulté le 25/04/2024)

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