À André Falconet, le 13 février 1661, note 3.
Note [3]

« il y a une grande sympathie {a} entre chacune de ces deux parties, qui est permise non tant en raison de leur fonction, qu’en raison de leur voisinage et de leurs vaisseaux. » {b}


  1. V. note [4], lettre 188.

  2. La rate et le poumon gauche ont en effet des fonctions bien distinctes, tout en n’étant séparés que par le diaphragme doublé des minces feuillets du péritoine et de la plèvre ; mais les deux viscères ne partagent aucun vaisseau, et leurs maladies sont rarement liées.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 13 février 1661, note 3.

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(Consulté le 20/04/2024)

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