Note [3] |
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« On donne des arrêts de défenses particulières pour lier les mains à des juges ou à des officiers, pour empêcher qu’ils ne continuent l’instruction d’un procès, l’exécution d’un jugement » (Furetière). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 17 mai 1661, note 3.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0696&cln=3 (Consulté le 23/04/2024) |