À André Falconet, le 6 mai 1664, note 3.
Note [3]

« On appelle, au propre, un chien au grand collier, un chien d’attache [qu’on tient attaché pendant le jour, de peur qu’il ne morde] ou un chien qui conduit les autres ; et figurément, il se dit d’un habile homme qui a du crédit en sa compagnie et qui entraîne les autres en son opinion. Scarron a aussi parlé fort plaisamment “ De ces auteurs au grand collier,/ Qui pensent aller à la gloire,/ Et ne vont que chez l’épicier ” » (Furetière).

Le jeune homme qu’André Falconet avait ici « délivré d’un grand mal » n’est pas identifiable.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 6 mai 1664, note 3.

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(Consulté le 25/04/2024)

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