À André Falconet, le 14 mai 1666, note 3.
Note [3]

« ce qui n’est pas désirable dans une telle ardeur, elle n’a besoin que de remèdes plus doux, tels que casse, séné et tamarin, et quelquefois sirop de roses pâles ou de fleurs de pécher, pourvu qu’ils ne soient pas nouveaux, mais préparés depuis un an au moins ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 14 mai 1666, note 3.

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(Consulté le 26/04/2024)

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