À Hugues II de Salins, le 12 juillet 1670, note 3.
Note [3]

« il aurait pu prolonger son existence de plusieurs années. »

L’avarice et la cupidité de Robert et de son épouse, Catherine Barré, furent sans doute causes de grands tourments pour Guy Patin, dont témoigne l’histoire de sa bibliothèque. Le 12 juillet, l’inventaire après décès de Robert n’était pas encore achevé (v. note [9], lettre 986).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Hugues II de Salins, le 12 juillet 1670, note 3.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0990&cln=3

(Consulté le 20/04/2024)

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