À Johann Garmers, décembre 1657, note 3.
Note [3]

Théophraste, Θεοφραστος en grec, l’un des prénoms de Paracelse (Philippus Theophrastus Aureolus Bombastus von Hohenheim), signifie « celui qui fait comprendre (φραζειν) Dieu (θεος) » ; Guy Patin le transformait ici en Cacophraste, Κακοφραστος, « celui qui fait comprendre l’ordure (κακος) ». V. note [3], lettre 849, pour la souillure identique du prénom de Théophraste Renaudot par Patin en 1665.

V. notes [8], lettre 392, pour l’édition des œuvres de Paracelse à Genève (1658), et [12], lettre 446, pour celles de Jan i van Heurne à Lyon (même année).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Garmers, décembre 1657, note 3.

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(Consulté le 16/04/2024)

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