À Johannes Antonides Vander Linden, le 28 novembre 1659, note 3.
Note [3]

Eau de couperose, pour se délivrer, et pour se préserver de plusieurs maladies (sans nom d’auteur ; Paris, Gaspard Meturas, 1652, in‑12).

La couperose, autre nom du vitriol (v. note [13], lettre 336), regroupe plusieurs sulfates auxquels les alchimistes attribuaient quantité de vertus dans le traitement des maladies ou dans la transformation du plomb en or.

V. notes [14], lettre 557, pour les « deux Opuscules médicaux » de Jean Merlet (Paris, 1659), et [3], lettre latine 129, pour la « Bibliothèque chronologique » du P. Philippe Labbe.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 28 novembre 1659, note 3.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1163&cln=3

(Consulté le 20/04/2024)

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