À Gottlieb Breüning, le 10 août 1665, note 3.
Note [3]

V. notes :

  • [2], lettre 157, et [2], lettre 919, pour la désignation (1663) puis la nomination officielle (1667) de Robert Patin à la survivance de la chaire que son père occupait au Collège de France ;

  • [20], lettre 464, pour l’Hôpital général où Robert exerçait ;

  • [4], lettre 427, pour le scorbut, carence en aliments frais, crus ou peu cuits (légumes, fruits, viande rouge), dont la survenu à Paris donne une idée de la misère qui y sévissait alors, principalement liée aux piètres récoltes qui ruinaient les paysans et les faisaient se réfugier dans les villes, pour y survivre en se nourrissant principalement de rare et mauvais pain.

Charles Patin a longuement détaillé sa pratique médicale parisienne (1655-1667) dans son Autobiographie.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Gottlieb Breüning, le 10 août 1665, note 3.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1396&cln=3

(Consulté le 20/04/2024)

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