À Georg Friedrich Lorenz, le 26 novembre 1666, note 3.
Note [3]

V. note [6], lettre 143, pour une relation détaillée du procès que les apothicaires de Paris avaient en vain intenté contre Guy Patin et sa thèse sur la Sobriété, Estne longæ ac iucundæ vitæ tuta certaque parens sobrietas ? [Une sobriété prudente et déterminée n’est-elle pas la mère d’une longue et agréable vie ?], disputée le 14 mars 1647. Seul en subsiste le compte rendu en latin qui est dans les Comment. F.M.P.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Georg Friedrich Lorenz, le 26 novembre 1666, note 3.

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(Consulté le 07/05/2024)

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