Le Borboniana se délectait de quatre autres adages d’Érasme.
- V. note [5], lettre d’Adolf Vorst, datée du 4 novembre 1661, pour « La guerre est douce à ceux qui ne la connaissent pas » (no 3001).
- Scarabæus aquilam quærit [Le scarabée cherche l’aigle] (adage no 2601) est très longuement commenté, en commençant par cette explication :
Cum imbecillior, atque impotentior, mali quidpiam molitur, struitque inimico longe potentiori.
[Quand un plus faible et plus impuissant ourdit quelque méfait et organise une embuscade contre un ennemi qui est de beaucoup plus fort que lui].
- V. note [10], lettre 164, pour « Les silènes d’Alcibiade » (no 2201, à propos de Socrate).
- V. notule {a}, note [2], lettre latine 265, pour Spartam nactus es, hanc orna, « Le sort t’a remis Sparte, fais-la resplendir » (no 1401).
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